Cellule à la singularité

Le jeu éducatif Cellule à la Singularité retrace l’histoire de l’humanité et son évolution, depuis les origines de la vie sur Terre jusqu'à l’avènement de la technologie. L’interface du jeu permet d'observer et d'influencer cette évolution, débutant avec une simple entité unicellulaire dans un environnement quasiment sans vie. Pour jouer, le gameplay repose sur des interactions simples, comme toucher l'écran ou cliquer, afin de générer une ressource symbolisant l'énergie ou l'entropie nécessaire à la progression. En ce sens, c’est vraiment un jeu destiné à tous les publics que l’on soit habitué aux outils numériques ou non.

À mesure que l’on accumule ces ressources, il devient dès lors possible de débloquer de nouvelles étapes dans l'arbre de la vie. Cela commence par l'évolution vers des organismes multicellulaires, puis l'apparition des premiers animaux, des poissons, des reptiles, des dinosaures, des mammifères, et finalement des primates menant à l'être humain. Chaque nouvelle forme de vie débloquée augmente la vitesse à laquelle la ressource est générée, permettant une progression plus rapide vers les étapes suivantes. 

Le parcours ne s'arrête pas à l'évolution biologique. Une fois l'humanité apparue, le jeu explore le développement technologique et la civilisation. On assiste dès lors à des découvertes fondamentales comme la maîtrise du feu, l'invention d'outils, la révolution agricole, l'ère industrielle, l'ère spatiale, le numérique, etc. 

Comment jouer à Cellule à la singularité ?

Dans l’esprit, Cellule à la Singularité fait penser à d’anciens jeux, comme EVO : Search for Eden sur Super Nintendo ou Seventh Cross sur Dreamcast. Le jeu repose sur un principe de progression continue. Il invite à faire des choix, à débloquer des connaissances, à faire évoluer des espèces, à activer des fonctions. Cette évolution suit une logique inspirée des grandes découvertes scientifiques, mais elle est adaptée à une expérience ludique, reposante et accrocheuse. Il ne s’agit en rien d’un jeu avec des défis à surmonter ou des ennemis à battre, mais plutôt d’un espace contemplatif et curieux où le savoir se transforme en jeu.

Le joueur gagne une ressource appelée entropie en touchant l’écran ou en cliquant. Cette entropie sert à débloquer de nouvelles étapes de l’évolution : molécules, cellules, organismes multicellulaires, et plus encore. Plus on progresse, plus les ressources s’accumulent et de nouveaux embranchements apparaissent. L’intérêt d’un tel jeu, c’est qu’il n’y a pas, à proprement parler, de défaite. On avance à son rythme en faisant évoluer ses ressources.

Quels sont les OS compatibles avec Cellule à la singularité ?

Cellule à la singularité est un jeu gratuit disponible sur PC Windows ainsi que les smartphones et tablettes Android et iOS. Comme beaucoup d’œuvres free-to-play, le jeu comporte des achats intégrés (ou microtransactions) pour accélérer la progression ou débloquer des avantages. Mais rassurez-vous, il est tout à fait possible de s’amuser sans passer par la case portefeuille.

Cellule à la singularité est-il gratuit ?

Tout à fait, Cellule à la singularité est un jeu entièrement gratuit. Il y a certes des achats intégrés, mais ils ne sont en rien obligatoires pour profiter de l’expérience. Celle-ci est pensée pour tous les publics.

Quelles sont les alternatives à Cellule à la singularité ?

Chapeauté par la tête pensante de la saga Assassin’s Creed, Ancestors : The Humankind Odyssey est la première œuvre du studio Panache Digital Games dirigé par Patrice Désilets. Ce titre se concentre sur l'histoire de l'humanité, en Afrique, il y a des millions d'années. Le joueur prend le contrôle d'un clan d'hominidés devant survivre dans un environnement naturel dangereux et inconnu. Le jeu met l'accent sur l'exploration, l'apprentissage des interactions avec la nature, l'utilisation des sens pour découvrir de nouvelles choses, et la défense contre les prédateurs. C’est un jeu complexe au départ, mais d’une incroyable richesse quand on se penche sur ses multiples composantes.

Bio Inc. Redemption : Plague, quant à lui, place le joueur dans le rôle d'une entité qui cherche à provoquer la mort d’un patient en sabotant progressivement son organisme. À l’inverse de la campagne Life du jeu Bio Inc. Redemption, il est ici question de destruction. Le joueur choisit les organes à cibler, développe des pathologies, bloque les traitements et adapte sa stratégie selon les réactions du corps. L’objectif est d’empêcher le patient de guérir. Chaque partie propose une approche différente selon le profil du patient et les interventions médicales. C’est un titre vraiment unique, mais inintéressant, car il permet d’aider à la compréhension du mécanisme des maladies.

Pour terminer, dans Plague Inc., le joueur incarne une maladie infectieuse dont le but est de contaminer et d’anéantir l’humanité entière. Le jeu commence par l’infection d’un patient zéro, puis s'étend progressivement au monde entier via l’évolution du pathogène. Le joueur choisit les symptômes, les modes de transmission (air, eau, animaux...) et les résistances environnementales. Il doit s’adapter aux efforts de la population pour se défendre, comme les fermetures de frontières ou les campagnes de recherche de remède. Le défi est d’atteindre un équilibre entre virulence, dangerosité et discrétion pour éviter une réponse trop rapide. Chaque pathogène (virus, bactérie, champignon, etc.) a ses propres caractéristiques. Le jeu est passionnant dans sa démarche.